BANKING & FINANCE
Article dans BANKING & FINANCE page 164 et 165 sur « Exporter en toute confiance »
Exporter en toute confiance
Sur Monaco depuis 3 ans, le volume global des échanges s’est stabilisé autour des 2,2 milliards d’euros, soit une progression depuis 2009 de 114 % (-1 % en 2015). Le poids des échanges avec l’Union Européenne a diminué. 56% en 2013, puis 54% en 2014 et 53% en 2015. Dans cette globalisation des échanges, vendre à crédit est un passage obligé des économies.
En exportant, en se développant à l’international, l’entreprise doit s’adapter vis-à-vis de ses clients et prendre des risques dans sa stratégie commerciale dont celui de ne pas être payée. Dans ce monde instable, le dirigeant cherche à exporter en toute sécurité, mais aussi à garantir le risque d’interruption de contrat ainsi que le risque de non-paiement. Enfin, il est en quête d’un partenaire « tout terrain », réactif, qui le déchargera de la complexité des législations des États concernés, de la méconnaissance des cultures, ou des problématiques de langues. Cette attente de couverture de risque peut se traiter par l’assurance-crédit Export et ce sur 2 niveaux :
• le risque commercial qui résulte de l’insolvabilité, le non-paiement d’un acheteur privé,
• le risque politique qui relève de la responsabilité d’un État.
Cette garantie comprend la surveillance et le suivi financier des prospects ou des clients, la prise en charge de la gestion des contentieux et une indemnisation en cas de défaillance ! L’assurance-crédit export est proposée à toutes les entreprises exportatrices, sans distinction de taille. Les assureurs crédits couvrent le risque commercial ordinaire, limité en montant et en durée. Qu’il s’agisse d’acheteurs publics ou privés, le défaut de paiement peut survenir pour des causes étrangères à la volonté du débiteur. Ces diverses causes sont des risques politiques, catastrophiques ou monétaires.
Les avantages de l’assurance-crédit sont nombreux :
• bénéficier de l’expérience d’un expert des risques financiers,
• mieux connaitre le niveau financier des clients et des prospects,
• transférer les procédures de recouvrement des créances pour se focaliser sur son activité,
• augmenter le taux de récupération des créances impayées,
• pouvoir développer l’activité de l’entité professionnelle sans crainte d’un incident de paiement sur les nouveaux clients.
Si nous devions résumer l’assurance-crédit, nous dirions que c’est un outil de gestion qui permet d’éclairer la route du dirigeant », en offrant un pilotage « contrôlé » à Monaco comme à l’international. Elle sécurise le poste client qui reste l’enjeu primordial du développement des entreprises.
Pour plus d’information sur le sujet, vous pouvez visiter le site Altassura.fr .
LA TRIBUNE
Article dans la tribune du 22 avril 2016 Bulletin côte d’azur : www.tribuca.fr.
L’assurance crédit entreprise au crible du comparateur.
La société Altassura a développé un outil à destination des sociétés souhaitant assurer leurs arrières.
La société Altassura a développé un outil à destination des professionnels souhaitant assurer leurs arrières.
C’est une innovation de taille sur le marché pour les dirigeants. Guillaume de Drouas et Stéphane Bonnamour, fondateurs de a société de courtage Altassura (Monaco), ont lancé ww.assurance-credit-entreprise.fr un comparateur qui recense les offres des sept plus grandes compagnies du secteur.
«L objectif est de se faire une idée du marché, explique Guillaume de Drouas. En l’espace de quelques clics, on va pouvoir découvrir toutes les offres, mesurer leurs avantages et inconvénients, ce qui n’existait pas auparavant.»
Pour le duo, ce support riche en contenus doit aussi mettre en lumière un produit méconnu : «les activités françaises sont très peu équipées en assurance crédit. Pourtant, une société sur quatre dépose le bilan à cause d’un impayé. Le but est donc de démystifier ce type de contrat et d’expliquer ses mécanismes.»
«On bouscule les règles»
L’assurance crédit permet à une entreprise (TPE, PME et grands comptes) d’être couverte en cas de défaut de paiement, en proportion du montant du contrat qu’elle a souscrit. «Un forfait classique va tourner autour de 3.500€ annuels pour un décaissement de 50.000€, détaille Stéphane Bonnamour.
En cas d’échéance non respectée, l’entrepreneur a 90 jours pour passer la main à son assureur qui va couvrir 85 à 95% de l’impayée.» Les compagnies agissent également en phase préventive en fournissant au sociétaire toutes les informations sur la santé de ses prospects et clients.
«C’est un processus renseignement très pointu, les compagnies engagent leur argent.» Dans ce créneau de niche, essentiellement parisien, l’arrivée du site d’Altassura a fait du bruit.
«On joue la transparence et on bous cule les règles, reconnaît Guillaume de Drouas. C’est même devenu un outil de veille concurrentielle pour les compagnies.» Sur le site, l’internaute a toujours le choix : contacter directement une assurance ou faire appel à Altassura. La société, qui a noué un solide partenariat à Monaco avec le cabinet de courtage Gramalia, officiera alors pour «conseiller la compagnie la plus adaptée au profil de l’entreprise et négocier les meilleures garanties».
Pierre-Olivier Burdin
5 bonnes raison de souscrire: L’assurance-crédit, un bon plan ? Les fondateurs d’altassura n’en doutent pas : « c’est le moment pour s’assurer, les taux n’ont jamais été aussi bas. Les sociétés, elles, manquent de trésorerie et le risque de défaillance n’est pas écarté. Avec la couverture, le chef d’entreprise peut travailler sur des encours plus importants avec une garantie de décaissement. Un contrat peut aussi faire effet levier auprès des banques. Enfin pour l’international, il faut être fou pour y aller aujourd’hui sans assurance-crédit.
ENTREPRENDRE
Article dans la revue entreprendre mai 2015 page 120.
Zplace : la première place de marché en ligne d’assurance crédit pour les sociétés
Pour mieux aider les dirigeants, Altassura groupe a récemment développé la première place de marché en ligne de la garantie contre le non-paiement des créances. « Zplace permet de comparer les différentes offres du marché. Nous bénéficions d’un large réseau de partenaires et proposons aux chefs d’entreprise les solutions les plus adaptées à leurs besoins dans le domaine complexe du choix de solutions financières et plus particulièrement en assurance crédit sur la base de critères de sélection objecte que nous avons mis en place. Chaque compagnie est dès lors placé sur un pied d’égalité face à ses critères », poursuit notre interlocuteur. Site ouvert et objectif, Zplace recense en effet l’ensemble des principales compagnies et compare les différentes solutions proposées. Surtout, il informe les chefs d’entreprise sur l’ensemble des risques auxquels ils peuvent se trouver confronter dans la vie de leur société : risques systémiques, financiers, politique, de recouvrement de créances ou encore de financement d’opérations à court terme, et propose des solutions adaptées à chacun.
« Permettre aux dirigeants de comparer et de sélectionner en quelques clics la solution la plus adaptée à leur profil »
Zplace est avant tout un outil pédagogique et de conseils auprès des entreprises. « Nous avons voulu être objectif et permettre aux dirigeants de comparer et de sélectionner de manière simple et en quelques clics la solution la plus adaptée à leur profil. En outre, ils peuvent déposer une demande d’étude d’assurance crédit en ligne sans aucun frais aux meilleures tarifications du marché. Pour information, le coût des forfaits de bases démarrent à 110 euros par mois », précise Guillaume de Drouas.
ENTREPRENDRE
Article dans la revue entreprendre décembre 2015.
Zplace : le seul et unique comparateur d’assurance-crédit pour les sociétés
« Un outil indispensable face aux évolutions de la conjoncture économique »
Zplace est avant tout un outil pédagogique et de conseil auprès des entreprises. Nous avons voulu être objectifs et permettre aux dirigeants de comparer et de sélectionner de manière simple et en quelques clics la solution la plus adaptée à leur profil. En outre, ils peuvent déposer une demande d’étude de solvabilité de leurs clients en ligne sans aucun frais. Plus que jamais, les structures se doivent de connaître la santé financière de leurs clients ou de leurs prospects avant de finaliser un marché. Rappelons qu’avec la loi Macron, les entreprises sous un seuil de 4 Millions d’euros de CA ne seront plus tenues de publier leurs bilans.